Une nonne vint trouver maître Banzen, visiblement intriguée.

“J’ai entendu dire que nous devions toujours faire simple. Mais notre tirons notre fierté et notre subsistance en gérant des choses complexes.”

Banzen fit : “En effet, nous devrions gérer simplement la complexité de nos clients.”

La nonne fit : “J’ai vu des clients demande des choses simples en les croyant complexes, et des choses complexes qui semblaient simples à leurs yeux. Comment ne pas en perdre la tête ?”

Le maître répondit : “Complexe n’est pas nécessairement compliqué. Ce qui est simple pour le berger ne l’est pas pour le forgeron ; Ce qui est évident pour le forgeron n’est pas connu du berger.

Si la nonne souhaite parler de n’importe quel art, dont et surtout le sien, elle doit apprendre le langage de ses clients, parler à chacun en utilisant leurs propres langues, et s’assurer que le code réutilise ces mots précis.”

À ce moment, la nonne eut une vision d’un code contenant en lui-même la connaissance du client, pour que chaque moine le lisant plus tard puisse comprendre à la fois le code et l’art du client en ouvrant le fichier, quelle que soit la durée qu’on ait laissé passer entretemps.

Remplie de joie à cette simple idée, elle embrassa le maître.